L’alarme concernant la situation bancaire nécessite des mesures pour protéger l’épargne et relancer le flux d’argent. Parmi les solutions les plus valables, l’investissement immobilier se distingue. Le cas du centre de Barcelone : baisse des prix de vente et performance annuelle élevée.
Le premier semestre 2012 a été caractérisé par l’intensification de la crise financière au niveau européen. A la situation compliquée de la Grèce, qui a ouvert la boîte de Pandore pour toute la zone euro, s’ajoutent les difficultés de plusieurs pays de la communauté économique. L’Europe et ses citoyens sont confrontés au besoin immédiat de redéfinir leurs règles internes en matière de finance, de marchés, de travail, de production et de consommation.
En temps de crise, lorsque les banques risquent la faillite en raison de politiques de crédit incontrôlées, et lorsque des nouvelles dramatiques tombent, la peur est la première réaction à tous les niveaux.
Pour les épargnants espagnols et européens en général, la fragilité des banques exige des mesures pour protéger leur argent du danger des faillites et des corralitos. La voie la plus sûre, que beaucoup envisagent, est l’investissement immobilier.
En ce sens, acheter un appartement dans le centre de Barcelone représente une opportunité très avantageuse en termes de revenus locatifs, puisque les prix ont baissé de 50% depuis 2007, ce qui ne s’est pas produit dans d’autres capitales européennes.
L’emplacement privilégié d’une propriété centrale dans une ville dynamique comme Barcelone garantit une abondance de locataires potentiels de haut niveau et un rendement annuel moyen de 6 %.
Un exemple concret : un appartement dans la Vieille Ville au prix de 110 000 €, d’une surface de 45 m2, peut espérer un loyer annuel d’environ 7 200 €, soit un rendement annuel brut de plus de 6,5 %. Dans d’autres cas, selon les caractéristiques et l’emplacement du bien, le rendement varie de 5,5% à 7,5%.
Le rendement devient encore plus attractif lorsqu’on le considère en termes fiscaux, grâce à des avantages fiscaux allant de 60% à 100% en cas de location à des personnes de moins de 30 ans.
Cette situation devient de plus en plus attractive pour les investisseurs de différents pays européens, car elle représente une opportunité concrète de revenus élevés et la possibilité d’une reprise à moyen terme de la valeur marchande du bien acquis.
